Il vous annonce que le printemps primesautier déjà à nos portes, prend le pas sur l’hiver moribond fermement résolu à vous réjouir, dans un beau florilège de sorties qui titillent jambes et têtes. Tendez l’oreille, la pie au printemps du comité jase le programme des divertissements
En mars : : fin de l’hibernation, la tortue s’étire dans sa carapace; Et vous?
Au Gaumont Multiplexe pièce de Théâtre
En Avril : ne pas se découvrir d'un fil qu'il soit d'or ou d'argent, ça va de soie, tirée de son cocon.
En Mai : à ce qu’il paraît, fait ce qu’il te plaît, mais avec le comité s'il te plaît.
En Juin : la rose et le joint, un brin de causette dans l’herbe; Bon! On arrête là... Bonjour les dégâts; Après ça, fêtes en confettis ou faites ce que vous pourrez pour prendre la poudre, non pas d'escampette, vous l'aurez compris... Eh! L'agenda ci-après en tout cas, ce n'est pas de la poudre aux yeux mais du solide, solidaire vers des moments festifs et brillants dans la clarté de bons sentiments et de la bonne humeur qui fleure bon la culture.
Les Festivals :
En Mars au Théâtre des treize Vents
Tartuffe, d’après Tartuffe, d’après Tartuffe, d’après Molière.
Texte, Molière
Conception et jeu Guillaume Bailliart
Présentation :
L’une des plus célèbres pièces de Molière entièrement prise en charge par un seul acteur ? C’est le pari de Guillaume Bailliart. Au plateau, sur une grande marelle composée des noms des personnages, l’acteur passe de l’un à l’autre au gré des répliques. Porté par le rythme des alexandrins, cette version inédite, proche de la transe, confirme que Tartuffe est, avant tout, une grande comédie.
Portées par un seul corps, les ruptures, les montées en pression, le souffle, éclairent le sens
et la situation parce qu'on est dans l'énergie de l'écriture qui est une énergie globale (pensée pour plusieurs), démesurée, déclamatoire et forcément pas psychologique.
« Je pense devoir fuir le numéro d'acteur, je pense devoir rechercher la transe ». Guillaume Bailliart
Rencontre proposée à 18h45 avant le spectacle.
A 18h45, vendredi 22 mars, le spectacle est précédé d’une rencontre avec Guillaume Bailliart (acteur et metteur en scène) en salle : présentation de la pièce, du principe de jeu, et échange l’équipe artistique. Puis remise des casques et début de l’audiodescription juste avant le spectacle à 20h.
21h30, fin de soirée avec la possibilité de se restaurer au théâtre.
Informations et Réservations :
Tarif préférentiel à 10€ est accordé aux personnes en situation de handicap visuel et à leur accompagnateur.
Le personnel d’accueil du Théâtre est présent pour vous guider et vous accompagner.
Réservation auprès du Théâtre des 13 vents :
sandrinemorel@13vents.fr ou au 04 67 99 25 13
L’audiodescription est réalisée par Rémy Chabrolle, Ulysse Roy et Alice Schemid accompagnés de Cédric Michel, dans la cadre d’un partenariat du Théâtre des 13 vents avec l’Université Paul Valéry - Département Théâtre Cinéma et la Fédération des Aveugles et Amblyopes de France Languedoc Roussillon. Avec le soutien de la Caisse d’Épargne Languedoc-Roussillon.
Visite « voir autrement », accessible aux personnes aveugles et malvoyantes ainsi qu’aux voyants qui souhaitent découvrir l’exposition sans la vue.
Andy Summers, le décalage pour leitmotiv.
Alors qu’il effectuait avec le groupe "The Police" les tournées de tous les excès, le guitariste Andy Summers apprenait en autodidacte, à ses moments perdus, le maniement d’un appareil photo. Entraînant son œil, profitant de ses déplacements à l’étranger avec son groupe, il part à l’aventure et saisit en noir et blanc des situations inattendues, créant au fil des années une sorte de journal intime en images de sa vie. Le Pavillon Populaire propose une rétrospective de ses photographies. Avec, au rez-de-chaussée, ses explorations surréalistes et urbaines sous le titre "Une certaine étrangeté", et à l’étage, une évocation de ses années "Police" portant l’intitulé "Osons l’insolite"…
C’est pour tromper l’ennui de l’attente entre les concerts dans les chambres d’hôtels qu’Andy Summers a débuté la photographie. Il se souvient… « C’était en 1979. Mon groupe avait tellement de succès que j’ai compris que je risquais de passer ma vie dans des hôtels. Or j’avais toujours eu une attirance pour la photo depuis mon enfance, car mes parents conservaient deux valises pleines de vieilles photos qui me fascinaient. J’étais entouré de photographes à l’époque. L’un d’entre eux m’a conseillé un Nikon dans un magasin qui s’appelait B&H Photo. J’appréciais les films de Truffaut et Godard. J’avais des affinités pour le noir et blanc. J’ai épluché les livres de photographie de Man Ray, Henri Cartier-Bresson, Brassaï, Ralph Gibson pour former mon œil et apprendre la technique. Au fil des années, ma conscience photographique s’est développée. Je n’ai plus jamais arrêté la photographie. »
Gilles Mora, directeur artistique du Pavillon Populaire, explique que ses clichés sont, pour Andy Summers, une traduction visuelle de sa musique. D’ailleurs, l’artiste a créé un air à la guitare, diffusé pour accompagner son exposition. Sa musique et ses photographies se correspondent, notamment par leur mélancolie. Elles procèdent de la même sensibilité. « L’accrochage des photographies est musical, c’est-à-dire réfléchi par blocs, et non chronologique », ajoute Gilles Mora.
Une certaine étrangeté (1979-2017)
Andy Summers affectionne l’usage du flou, qu’il assimile à la distorsion du son par pédale d’effets en guitare. Le flou étant décliné dans la fumée de cigarette ou des gouttes d’eau sur les vitres d’un train notamment.
Ses clichés présentent souvent des cadrages très particuliers. Il privilégie parfois les situations ou positions qui enlèvent toute possibilité d’identifier les personnes photographiées. « J’aime partir à l’aventure dans les rues, de jour ou de nuit, en quête de ce que Samuel Taylor Coleridge a appelé une certaine étrangeté, c’est-à-dire les petites choses décalées ou inhabituelles de la vie. Des possibilités de photos émergent. Et soudain c’est là, devant moi », se réjouit-il. Il photographie par exemple une maquette de bateau sur un rocher, jouant sur l’échelle pour simuler un naufrage. Ou les effets de la lumière et du vent dans les rideaux. Parfois l’on peine à reconnaître l’objet photographié, tant l’abstraction prend le pas. Andy Summers explore également les décalages culturels, lors de ses voyages. Ses clichés cultivent l’ambiguïté. Ils se situent dans un entre-deux qui peut conduire à s’interroger sur ce qu’il s’est passé avant et ce qui se produira ensuite. « J’aime la sensation de vertige que peuvent provoquer certaines de mes photographies, comme mes musiques, d’ailleurs. Le vertige peut être généré par l’ellipse », analyse Andy Summers.
Let’s get weird (Osons l’insolite 1979-84)
Au premier étage, sur les murs de couleur prune, on découvre une longue ligne de photographies en petit format documentant les excentricités du groupe The Police. Sex, drugs, hotels and rock’n roll… voilà qui pourrait résumer cette folle période, durant laquelle Andy Summers s’est accroché à son appareil photographique et à sa guitare pour ne pas se perdre totalement. Il faisait alors ses débuts en photographie, saisissant la foule en délire, Sting et Stewart Copeland endormis après un concert, une groupie nue dans une chambre d’hôtel, des toisons féminines… Une image très graphique marque les esprits : un rouleau de papier toilettes déroulé partiellement sur une moquette géométrique depuis une chambre, et sur lequel est griffonné le mot « help », « au secours ». Et l’on ne peut s’empêcher de penser à la chanson Message in a bottle. Ainsi, Andy Summers a-t-il résumé en une photographie son malaise existentiel de l’époque, à mener une vie superficielle de guitar heroe constamment en tournée.
gilles-mora
Gilles Mora, lui-même féru de musique, admirant une guitare d’Andy Summers exposée à l’étage.
L’avis de Gilles Mora, directeur artistique du Pavillon Populaire, commissaire de l’exposition avec Andy Summers
« Andy Summers pratique une photographie de rue à tendance surréaliste mixant la tradition américaine de la photo urbaine et la tradition européenne surréaliste. Autodidacte, il possède une vraie culture photographique. Il a d’abord imité les photographes qu’il admirait, avant de les dépasser. Lorsque je dirigeais les Rencontres d’Arles, je pensais l’exposer. Cela ne s’est pas fait. Je suis heureux d’accueillir ses photographies au Pavillon Populaire. Que les choses soient claires : il n’expose pas ici parce qu’il est l’un des dix meilleurs guitaristes de sa génération, mais parce qu’il est un très très bon photographe. Je ne sais pas s’il réalise bien à quel point il est un photographe talentueux, tant il est enfermé dans son statut de guitar heroe. Lorsque je suis allé chez lui pour choisir les images qui figureraient au sein de l’exposition, j’ai été surpris de l’homogénéité et de la qualité de son travail photographique. Il n’y avait aucune faiblesse. J’aurais pu tout sélectionner ! »
En Mars à la Panacée, l’Atelier
Au Panastudio de La Panacée Opus 1 Cooktaste : du tactile au goût Dans cet atelier l’attention sera donnée à la texture. Le chocolat a été choisi pour la singularité de ces qualités plastiques et de ses différents états possibles très proche de l’univers de la sculpture et du modelage.
Les ateliers et la visite sont gratuits sur inscription soit par mail en écrivant à mediation@lapanacee.org soit par téléphone au 04 34 88 79 79
En Mars au Gaumont Multiplexe pièce
Audiodescription non disponible mais la pièce se suffit à elle-même
Le MISANTHROPE
SYNOPSIS :
Alceste aime Célimène, une jeune femme mondaine éprise de liberté, mais rejette la société de bienséance à laquelle ils appartiennent. Hanté par un procès dont il redoute l’issue, Alceste se rend chez elle pour solliciter son aide...
PRESENTATION
Le Misanthrope donne à voir une société libérée de l’emprise parentale et religieuse, dont le vernis social s’écaille lorsque surgit le désir. Poussés à bout par la radicalité d’Alceste, prêt à renoncer à toute forme de mondanité, les personnages dévoilent, le temps d’une journée, les contradictions du genre humain soumis à un coeur que la raison ne connaît point.
Diffusions à l'international avec le soutien de l'Institut Français.
En Avril au Théâtre des treize Vents
MONEY – EN AUDIODESCRIPTION
Tout citoyen, dès l’instant qu’il a un compte en banque, participe activement (selon ses moyens, bien sûr) à alimenter et à faire fonctionner un système mondialisé auquel il ne comprend à peu près rien, et dont il est tout sauf sûr qu’il en soit l’heureux bénéficiaire… C’est de cela que nous sommes partis pour construire Money !. Que devient l’argent que l’on verse sur son compte ? Quels leviers déclenchons-nous en espérant que cela rapporte un « petit quelque chose » ? Et si nous réécrivions notre rôle ? Money ! est une exploration en forme d’interrogations, aussi ludique que critique, qui s’enclenche à partir d’une situation simple : dans le contexte de l’après-crise de 2008, un homme entre dans une banque et se demande où va son argent… Rompus aux discours des financiers, interrogeant leur vocabulaire et leurs postures, quatre comédiens multiplient les personnages, décortiquent les mécanismes et conduisent ce collage scénique où musique, vidéo et « chorégraphies à roulettes » se répondent.
Françoise Bloch
Je suis metteure en scène belge francophone. Je dirige une compagnie avec laquelle je construis des spectacles que nous écrivons collectivement sur des sujets socio-économiques. Nous les voulons joyeux, rigoureusement documentés et proches de notre voyage à travers ces réalités qu’au départ nous ne maîtrisons pas. Une trilogie sur la concurrence a d’abord vu le jour : Grow or go sur les discours de jeunes consultants en stratégie d’entreprises, Une société de services, mettant en scène des travailleurs précaires en centre d’appels et Money ! qui, partant d’un rendez-vous dans une banque, tente de déployer les mécaniques du profit. Études, sur les liens entre finance et politique, ouvre au public un spectacle en train de se construire. En lien étroit avec ma pratique artistique, je suis également pédagogue à l’École supérieure d’acteurs de Liège qui me sert d’espace de recherche et, à l’occasion, dans d’autres écoles d’acteurs (RITS – Brussel, École du TNB-Rennes, École du TNS-Strasbourg).
mise en scène : Françoise Bloch interprétation : Jérôme de Falloise, Benoît Piret, Aude Ruyter, Damien Trapletti
écriture collective
assistanat : Judith Ribardière, Cécile Lécuyer
collaboration artistique : Benoit Gillet
lumières : Marc Defrise, Caspar Langhoff
vidéo : Benoit Gillet et Yaël Steinmann
aide à la réalisation sonore : Jean-Pierre Urbano
scénographie : Johan Daenen, Johanna Daenen
costumes : Patty Eggerickx
Réservation auprès du Théâtre des 13 vents :
sandrinemorel@13vents.fr ou au 04 67 99 25 13
En Avril à la Panacée, la Visite
COOK BOOK 19 L’exposition Cook Book 19 réunit sur une invitation de Nicolas Bourriaud et Andrea Petrini, 25 chefs et 20 artistes internationaux autour d’une réflexion sur la porosité entre art et cuisine. Elle met en lumière une génération émergente de créateurs, tous liés par un désir fort d’expérimentation, et pour qui la question du processus, parfois long, est mise en valeur.
Les ateliers et la visite sont gratuits sur inscription soit par mail en écrivant à mediation@lapanacee.org soit par téléphone au 04 34 88 79 79.
Notre visite rendra hommage au marchand d'art et collectionneur Jean Fournier qui, de 1954 à 2006, a défendu avec force la peinture face à l’émergence de nouveaux médias et de nouvelles formes artistiques. Sa donation et ses dépôts au musée Fabre constituent un ensemble exceptionnel de peintures abstraites françaises et américaines des années 1950 à nos jours que nous découvrirons à cette occasion.
Tarif réduit 5,50 €
Inscription préalable par mail à contact.museefabre@montpellier-agglo.com, ou par téléphone au 04 67 14 83 22.
En Avril à la Panacée, l’atelier
Panastudio de La Panacée Opus 2 Cooksmell du toucher à l’odorat Pour ce deuxième atelier, l’attention sera portée à l’odorat et la création de la carte de visite d’un arôme.
Les ateliers et la visite sont gratuits sur inscription soit par mail en écrivant à mediation@lapanacee.org soit par téléphone au 04 34 88 79 79.
En Mai à la Panacée, l’atelier
Opus 3 Cookdevoration Cet atelier sera dédié à la découverte de la matérialité de l’œuvre au travers d’une dégustation de chocolat avec des cuillères en porcelaine spécialement créé pour cet atelier, qui questionne le poids et la texture de l’œuvre. Le couvert devient alors une sorte d’extension du corps humain et cela permet aux papilles gustatives de participer physiquement à la jouissance du goût.
Les ateliers et la visite sont gratuits sur inscription soit par mail en écrivant à mediation@lapanacee.org soit par téléphone au 04 34 88 79 79.
Le Songe d’une nuit d’été ;
Garderie artistique : dimanche 12 mai 2019 - Audiodescription : dimanche 12 mai 2019
Benjamin Britten (1913-1976)
Opéra en 3 actes
Livret de Benjamin Britten et Peter Pears
adapté de la pièce éponyme de William Shakespeare
Création le 11 juin 1960 au Festival d’Aldeburgh
Benjamin Britten et son compagnon Peter Pears ont imaginé une libre adaptation du chef-d’œuvre de Shakespeare Le Songe d’une nuit d’été. L’enfant terrible de la musique anglaise a conçu un univers où se côtoient une exceptionnelle variété de climats musicaux mis en regard avec le théâtre shakespearien. L’œuvre s’en trouve réactualisée par une approche dramaturgique renouvelée, au contact des thèmes de la pureté et de l’innocence, de la nuit et du songe en opposition au monde réel, par nature trompeur et violent. Instrumentation très colorée et rôle masculin central confié à un contre-ténor participent pleinement à cette fête des sens parsemée d’humour, d’amours et de magie.
Nouvelle production Opéra Orchestre national Montpellier Occitanie
Chanté en anglais
Flash'Opéra : 1 heure avant chaque représentation de Songe d’une nuit d’été, Patrick Taïeb vous invite à une découverte de l'œuvre, en 10 clés.
Une immersion immédiate et efficace dans l'œuvre et la production.
Gratuit, sur présentation du billet.
Les peintures et les sculptures sont chargées d’émotions, celles des personnages représentés, celles des visiteurs ou même celles des artistes ! Une œuvre d'art nous laisse rarement indifférent. La peur, la joie, la colère, le chagrin ou le plaisir – autant d’états d’âme et d’émotions que nous allons découvrir et/ou ressentir face à des œuvres.
Tarif réduit 5,50 €
Inscription préalable par mail à contact.museefabre@montpellier-agglo.com, ou par téléphone au 04 67 14 83 22
Découvrir et comprendre les fonctions militaires, résidentielles mais aussi symboliques des châteaux forts grâce à une maquette tactile en bois. Amener le public à mieux connaître ces édifices qui occupent une place importante dans le patrimoine local, à découvrir leur complexité, les différentes facettes de la vie au château, la place de la guerre, les relations avec la campagne environnante...
Atelier gratuit, inscription auprès du Comité. Contact 04 67 67 37 22
Simon Boccanegra;
Garderie artistique : dimanche 16 juin 2019 - Audiodescription :
Simon Boccanegra
Giuseppe Verdi (1813-1901)
Opéra en un prologue et 3 actes
Livret de Francesco Maria Piave et Arrigo Boito
Création le 12 mars 1857 à la Fenice de Venise
Œuvre sombre, opéra politique où couleurs héroïques se mêlent au pur lyrisme, Simon Boccanegra est le théâtre idéal de rivalités de pouvoir. Corsaire devenu doge, le rôle-titre apparaît en témoin préoccupé de ce drame opposant patriciens et plébéiens dans la Gênes du XIVe siècle. Mais il sait aussi se montrer sensible au drame humain se nouant autour de l’unique personnage féminin, Amelia. Hymne à la liberté et à la tolérance sous l’égide de Pétrarque, vibrant plaidoyer de l’amour paternel, ce sommet de jouissance sonore permet à Verdi de se projeter dans ce personnage à la fois politique et humain, aux prises avec le thème plus universel du combat contre le temps.
Coproduction Opéra Orchestre national Montpellier Occitanie, Opera Vlaaderen, Staatstheater Karlsruhe, Grand Théâtre de la Ville du Luxembourg
Chanté en italien
En savoir plus :
Conférence de Piotr Kaminsky vendredi 14 juin 2019 à 18h30 - Le Corum
Flash Opéra : 1 heure avant chaque représentation de Simon Boccanegra, Yvan Nommick vous invite à une découverte de l'œuvre, en 10 clés.
Une immersion immédiate et efficace dans l'œuvre et la production.
Gratuit, sur présentation du billet.
Rencontre avec les artistes : dimanche 16 juin 2019 - Opéra Comédie
Garderie artistique : dimanche 16 juin 2019
Le musée Fabre rend hommage au peintre contemporain Vincent Bioulès à l’occasion d’une grande exposition monographique. Né à Montpellier en 1938, l’artiste est l’un des organisateurs de l’exposition désormais mythique 100 artistes dans la ville Montpellier Mai 70 et l’un des membres fondateurs du groupe Supports/ Surfaces. L’exposition revient sur ces expériences radicales en même temps qu’elle insiste sur la singularité de son rapport au motif et à la figure.
Tarif réduit 9,50 €
Inscription préalable par mail à contact.museefabre@montpellier-agglo.com ou par téléphone au 04 67 14 83 22
Le Festivals :
Le programme en suivant le lien : https://www.printempsdescomediens.com/programme/festival-2019/
Information pratiques :
Ouverture de la billetterie au public : le Jeudi 18 Avril 2019 à 9 heures.
Ouverture de la billetterie réservée aux détenteurs de la Carte DuO, au Printemps des Comédiens sur place au Domaine d’O, par téléphone et sur notre site internet : le Jeudi 11 Avril 2019 à 9 heures.
Compte tenu de l’affluence, exceptionnellement les 11 et 18 Avril 2019 au Printemps des Comédiens, la billetterie ouvrira à 9 heures.
HORAIRES BILLETTERIE AU DOMAINE D'O :
Avant le début du festival, du 11 Avril au 30 mai 2019 (fermeture samedi, dimanche et jours fériés) : du Lundi au Vendredi de 11 heures à 13 heures et de 14 heures à 18 heures.
Pendant le festival à Montpellier, du 31 mai au 30 juin 2019 : du Lundi au Vendredi de 11 heures à 13 heures et de 14 heures à 18 heures et 1 heure avant le début de chaque spectacle.
Samedi et dimanche : ouverture de la billetterie à 15 heures.
RESERVATION PAR TELEPHONE : 04 67 63 66 67
Règlement :
par carte bancaire : validation immédiate de la commande.
par chèque ou chèques vacances : validation à réception du chèque établi à l’ordre du Printemps des Comédiens à envoyer à l’adresse suivante : Printemps des Comédiens, Service Réservations, 178 Rue de la Carriérasse, 34097 Montpellier cedex 5. Le chèque doit parvenir au plus tard 3 jours après votre appel ; la commande prend effet à sa réception, au-delà la réservation sera annulée.
Retrait des billets :
Nous vous les envoyons par courrier : il faut, dans ce cas, rajouter 5 € (courrier suivi) au montant de votre commande.
Vous les retirez aux guichets de billetterie aux heures d’ouverture ou le jour même à partir de 1 heure avant le début de la représentation.
RESERVATION SUR PLACE :
Printemps des Comédiens : 178 Rue de la Carriérasse, 34090 Montpellier (Tramway Ligne 1 station “Malbosc”).
Il n’y a qu’un seul point de vente : aux guichets à l’entrée nord du Domaine d’O.
RESERVATION SUR NOTRE SITE INTERNET : https://www.printempsdescomediens.com/billetterie/
Vous pouvez acheter vos billets sur notre site internet (Frais de location : 1 € par billet).
Attention : justificatifs à fournir pour les tarifs réduit, jeune et demandeur d’emploi.
LES REDUCTIONS :
Tarif réduit : Cartes DuO, réseaux de spectateurs, étudiants, comités d’entreprises (commandes groupées), 3ème âge (à partir de 60 ans), Carte CEZAM, adhérents OdyCE / Meyclub (réservations uniquement auprès d'OdyCE / Meyclub, 04 67 42 80 27).
Tarif abonnés théâtres (sur présentation d’un justificatif) : sortieOuest, Béziers • hTh., CDN Montpellier • Le Cratère, Scène nationale d’Alès • le Théâtre, Scène Nationale Grand Narbonne • Le Sillon, Clermont l’Hérault, Scène Conventionnée.
Tarif jeune : à partir de 2 ans et jusqu’à 25 ans inclus.
Tarif demandeur d’emploi (D.E.) : sur présentation d’un justificatif POLE EMPLOI (disponible sur internet).
Pass culture : billet nominatif réservé aux étudiants. Tarifs : de 5 € à 10 €. Billetterie au C.R.O.U.S. : 04 67 41 50 96 (sous réserve des places disponibles).
Groupes scolaires : de 8 € à 10 € la place, à partir du primaire et jusqu’à la fin du secondaire, pour un groupe de 10 élèves.
AUTRES INFORMATIONS
Tous les véhicules sont garés dans les parkings 1 et 2 au nord du Domaine d’O.
Nous demandons aux personnes en fauteuil roulant ou à mobilité réduite de bien vouloir nous contacter au 04 67 63 66 67 avant votre venue au spectacle afin que nous puissions vous accueillir dans les meilleures conditions (accès voitures réservés aux handicapés).
En général l’entrée du public dans le lieu de représentation se fait 20 minutes avant le début du spectacle, sauf en cas de contrainte artistique nous obligeant à retarder cette entrée.
Si vous arrivez en retard, les contrôleurs vous préciseront le moment où vous pourrez entrer. Il se peut que cet accès au gradin vous soit refusé et, dans ce cas-là, votre billet ne sera pas remboursé.
Pour de très nombreuses raisons, il ne peut y avoir qu’une seule entrée public pour le festival ; cette entrée unique peut vous éloigner de certains lieux de spectacle. Merci de prévoir un temps de circulation dans le Domaine d’O.
Pour les spectacles au Théâtre d’O, à l’Espace Sud ou aux Grands Cyprès, il vous faut prévoir 20mn de marche pour accéder à la salle.
Tramway Ligne 1 station “Malbosc” : la solution pour venir au Printemps des Comédiens (station “Velomag”). Allo TaM : 04 67 22 87 87
Du 09 au 27 juillet 2019, à Montpellier, le programme est disponible en suivant le lien : https://lefestival.eu/fr , et sur Facebook : festivalradiofrance
Information et réservation au 04.67.02.02.01.